- Chapitre 1 : La naissance de Bijou
- Chapitre 2 : Bijou est découvert
- Chapitre 3 : Le voyage
- Chapitre 4 : La ville d’Elderine
- Chapitre 5 : La décision d’Epith
- Chapitre 6: Le Serment des Hednis
- Chapitre 7: Un court instant de paix
- Chapitre 8: La dernière guerre
Chapitre 1 : La naissance de Bijou
Au commencement de l’univers il existait un être, dont le pouvoir surpassait même celui des dieux. Son nom était : Legel.
Legel était capable de créer à partir du néant. Il pouvait même renverser le temps.
Il créa un immense et magnifique continent. Celui-ci n’existait pas dans le monde de l’éternité, mais dans un fragment parallèle de temps et d’espace. Le grand Legel partagea son pouvoir avec les dieux et créa une nouvelle vie sur le continent.
Il aimait ce beau pays et les créatures y séjournant. Ils vivaient en harmonie avec la nature qu’il y avait fait émerger et sa plus grande joie était de la protéger.
Il y avait pourtant des dieux jaloux de sa joie et de son pouvoir. Aveuglés par l’envie et la convoitise qui s’allièrent pour exiler Legel dans la chambre noire éternelle.
Lors de son exil, Legel créa « Bijou ». Tel un alter-ego, Bijou détenait le même pouvoir que son créateur.
Les dieux étaient hagards : malgré l’exil du puissant Legel, son portrait Bijou demeura.
Emplis de terreur, ils tentèrent de supprimer Bijou. Dans un tourbillon de pouvoirs extraordinaires, ils dévastèrent tout autour d’eux. Il semblait que même la lumière, le vent et l’obscurité étaient anéantis.
Bijou cependant, ne fut pas supprimé – il tomba en petits morceaux et s’éparpilla sur tout le continent.
Les dieux pouvaient enfin respirer. Ils étaient persuadés que Bijou ne pouvait plus utiliser son pouvoir tant que son corps était éparpillé.
Mais ce moment ne dura pas :
Un jour, s’élevèrent des chants de bénédiction dans tout le continent. Pour être exact, ils provenaient de la grande forêt des elfes. Là-bas, le peuple des elfes bénissait la découverte d’un fragment de Bijou...
Chapitre 2 : Bijou est découvert
Ce sont les elfes qui ont retrouvé Bijou après tout ce temps. Sa bénédiction divine bien que cachée et presque oubliée, était visible dans la nature : forêts et champs verdissaient comme jamais auparavant et le pays béni de Bijou rayonnait d’un nouvel éclat.
Pourtant, son chant divin du renouveau fut anéanti par les autres dieux ennemis. Aveuglés et morts de peur, ils s’allièrent une deuxième fois contre Bijou. Ensemble, ils fondèrent un nouveau pouvoir des ténèbres : les créatures sans âmes surgirent de la terre et firent irruption dans le monde d’Isya, assoiffés de sang, où ils propagèrent leur mal.
Le monde tomba dans l’obscurité et les forces de Bijou déclinèrent. Le pays fut brûlé et les fleuves asséchés. Le monde d’Isya, jadis si beau et envoûtant, riche en forêts, fut ravagé par la convoitise et la vengeance divines.
D’innombrables monstres peuplèrent et opprimèrent le pays, sans pitié envers son peuple pacifique : la plupart des adorables créatures furent décimées. Des arbres centenaires ne subsistèrent que des cendres.
Et de nouveau les elfes, portés par leur sagesse et leur courage, décidèrent d’affronter ce fléau. Cependant, ayant vécu des centaines d’années en paix, ils étaient incapables de se battre.
Ainsi, tous n’étaient pas de cet avis : Jenira, le meneur des elfes du nord, refusa d’obéir à la maîtresse et protectrice des elfes d’Isya. Il préférait se cacher avec les siens jusqu’à la disparition du danger, car un combat contre ces dieux lui semblait hors de portée.
Mais, Elderine haussa la voix en rappelant à Jenira toutes ces âmes innocentes qui mourraient sans conteste s’ils ne faisaient rien. Sa voix retentit dans toute la vaste forêt.
Les elfes, écoutant cette sombre perspective, eurent les larmes aux yeux et éprouvèrent de la honte : qui, si ce n’est eux, protègeraient la forêt vierge et ses êtres innocents ?
C’est alors qu’un elfe ordinaire prit la parole :
« Nous sommes forts et n’avons pas peur ! »
Et : « Tous ensemble, nous protégerons les forêts, comme si elles étaient nos enfants ! »
Une fois ce serment prononcé et accepté, Elderine se mit à sourire. Mais le regard de Jenira se tourna honteux vers le sol.
C’est ainsi que commença la lutte ! Les elfes purent, grâce à leur agilité, gagner bataille sur bataille contre les innombrables monstres. Mais chaque nuit surgissaient de l’enfer de nouvelles créatures toujours plus puissantes. Bientôt, Elderine et ses guerriers ne parvinrent plus à maîtriser la situation.
En ce moment funeste, eut lieu un évènement inattendu : les dieux se retournèrent les uns contre les autres ! Epith, qui désirait toujours être le premier des dieux, fut attaqué par Pagel, dieu de la convoitise. Cela généra un nouveau combat qui finit par séparer les elfes : car le propre frère d’Elderine, Epith, se tenait aux côtés des dieux ennemis. Cependant, elle quitta sa patrie, la forêt vierge, pour protéger les elfes lui appartenant. Ils se mirent ainsi en route pour un long voyage...
Chapitre 3 : Le voyage
« Vous, elfes sages et stoïques ! Vous rappelez vous aujourd’hui la raison de votre chagrin. Nous avons dû quitter notre chère patrie et cela semble maintenant une éternité que nous sommes en chemin. Ne perdez pas espoir ! Et n’oubliez pas les camarades qui se sont sacrifiés pour que nous puissions être là aujourd’hui. Pensez également à ceux qui nous ont trahis. Ils souffriront beaucoup plus que nous. Je vous le promets ! »
Le voyage d’Elderine semblait ainsi se poursuivre en un effort sans fin. Le continent était encore dévasté et l’avancée atroce et laborieuse.
« Dieux ! Le monde était jadis si merveilleux … et aujourd’hui… »
« Elderine, nous partageons tes peines. »
« Ma souffrance est plus profonde que ce que je peux l’exprimer. Les dieux n’ont-ils rien appris de leurs erreurs ? »
« Certains d’entre eux étaient emplis de convoitise, c’est vrai. Mais ne perds pas espoir ! Il y a un avenir pour toi et ceux qui te suivent. »
« Vous avez raison. Nous ne pouvons pas abandonner ! »
Et effectivement, Elderine et son cortège reprirent espoir. Lorsqu’ils atteignirent enfin le sud lointain après un voyage interminable, ils se trouvèrent en sécurité ! A cet endroit, ils restaient inaccessibles face aux monstres.
Là-bas dans le sud, ils découvrirent à leur propre étonnement, une nouvelle espèce : cette créature inconnue, ils la nommèrent « homme ». Eux-mêmes étaient venus de très loin, pour mener une vie paisible. De ce fait, ils se distinguaient considérablement des elfes. Ainsi, il n’était pas facile de comprendre leurs actes : pour manger, ils chassaient les animaux. Ils coupaient des arbres et se construisaient des maisons à partir du bois.
« Pourquoi tuez-vous pour manger ? Il y a pourtant suffisamment de plantes comestibles en ces lieux. Elles peuvent vous rassasier tout autant. »
Les elfes indignés posèrent ces questions et beaucoup d’autres. Continuellement. Mais Elderine était la seule à comprendre ces hommes car elle avait eu une longue discussion avec les anciens.
« Nous, les hommes, ne sommes ni aussi forts que les elfes ni capables de vivre si longtemps. Vivre dans le dépouillement comme vous, avec rien de plus que quelques fruits et de l’eau comme repas serait pour nous impensable. C’est pourquoi nous complétons notre nourriture avec la chasse et l’agriculture. Malgré cela, nous voudrions nous allier à vous, les elfes. Ensemble, nous pourrions défier le monstre ! »
Elderine admirait les hommes. En raison de leur courte durée de vie – et pour d’autres raisons – ils restaient certes en-delà des possibilités que les elfes chanceux avaient à disposition, cependant ils étaient remplis de courage et dénués d’arrogance ou de méchanceté – ils vivaient en paix.
« Nous pensions toujours que notre manière de vivre était la seule juste; mais je dois maintenant avouer que vous aussi les hommes êtes capables de développer une harmonie considérable. Moi, Elderine, Maîtresse d’Isya, souhaite ainsi vivre en paix avec vous dans le pays béni de Legel. »
Chapitre 4 : La ville d’Elderine
Comme Elderine l’espérait, les hommes et les elfes vécurent ensemble en paix. Avec le temps, une ville commune apparut. Fondée sur une grande confiance qu’Elderine avait insufflée aux hommes.
La ville d’Elderine se développa et devint très puissante. Cela aurait pu durer ainsi pour toujours. Malheureusement, la sécurité d’abord offerte aux habitants, s’avéra un jour trompeur.
Après une longue période, les monstres, contre toute attente, poursuivirent les traces des elfes jusque dans le sud profond. Après avoir cherché les restes de Bijou sur tout le continent, il s’agissait du dernier lieu possible.
Et ils recommencèrent à brûler les forêts et tuer les animaux. Toutefois, les hommes et les elfes prirent part ensemble au combat. Leur forteresse frémit sous les interminables vagues d’attaques des monstres.
Mais, le pire arriva : Epith et son cortège attaquèrent l’alliance avec leurs armes magiques. Les défendeurs étaient encerclés et beaucoup y perdirent la vie. C’est ainsi que Elderine se rendit seule à l’aube auprès d’Epith. Elle voulait à tout prix mettre fin à la souffrance- même au péril de sa propre vie.
« Epith ! Jadis, vous adoriez et aimiez la vie. Quelle est donc la raison de votre haine ? Vous aimiez les chênes et les tilleuls – et maintenant, vous les réduisez en cendres ? Avez-vous oublié tout ce qui, jadis, vous était sacré ? »
« Ma sœur, très belle, mais malheureusement très naïve : tout cela est la faute de Bijou ! »
« Epith, ce n’est pas vrai ! Bijou a ramené le pays à la vie et vous essayez maintenant de tout détruire ! Et cela par pure jalousie ».
« Cela suffit ! Ôtez-vous de ma vue ! »
Avec ses paroles, Epith avait monté les dieux contre lui. Avec sa haine, il avait perdu la bénédiction de Legel. Pendant ce temps, Elderine pleurait d’un amer désespoir – car elle était tenue par Epith dans une obscurité profonde. La magie enfouie des elfes s’obscurcissait également.
« Epith ! Reviens, je t’en prie ! »
Elderine, la sœur adorée d’Epith, sage et intelligente, était toujours respectée de tous. Epith ne pouvait pas comprendre pourquoi il ne pouvait pas la remplacer.
Car, en ce qui concerne l’emploi de la force, il l’avait déjà fait : sous son règne les forces des ténèbres se développèrent sans entrave et l’accaparèrent lui-même complètement.
Mais une fois, lors d’une visite dans la prison d’Elderine, il lui était arrivé quelque chose de tout à fait inhabituel : une étincelle avait soudain jailli et une lumière éblouissante l’avait aveuglé.
Cependant, depuis longtemps déjà il s’était détourné de cette lumière fabuleuse. Cela date tellement qu’il l’avait déjà presque oublié.
« Elderine ! »
Epith entendit une voix inconnue. Soudain, il réalisa que sa sœur avait été sauvée de la prison des ténèbres – par un homme !
« Comment est-ce possible qu’un homme faible ait pu détruire cette prison construite par les dieux ? »
Cet homme avait surgi d’une lumière blanche. Il rayonnait tellement qu’Epith ne pouvait pas ouvrir ses yeux.
« Non !!! »
Une lame tranchante se dressa soudain contre Epith. Toutefois Elderine se jeta devant son frère. Et ainsi, le chevalier Roumen ne put tuer Epith. Au lieu de cela, Elderine fut blessée au combat, en voulant protéger son frère.
« Epith ! »
Roumen plaça d’abord Elderine en sécurité. Mais Epith n’envoya pas ses hommes à leur poursuite. Il se prosterna sur le sol, sans bruit, en pleurant amèrement.
Chapitre 5 : La décision d’Epith
Roumen rentra à la ville, portant Elderine gravement blessé. Là-bas, il rassembla les hommes et les elfes autour de lui. Levant l’épée, il jura de se venger. Il leur promit qu’il le ferait avec toute sa conviction et même s’il venait à le payer de sa vie.
De nouveau, les ténèbres recouvrirent le pays. Les forces des ténèbres sévirent sans discontinuer. D’innombrables monstres s’élancèrent pour bloquer les flèches des elfes et détruire les murs du château. Lorsque les monstres rassemblés se lancèrent tous ensemble à l’assaut du château, il ne fut plus possible de le défendre.
Beaucoup d’elfes et d’hommes se vidèrent de leur sang. Elderine, malgré sa blessure, s’avança jusqu’au champ de bataille.
Epith pouvait l’apercevoir de loin. Les yeux de son frère passèrent au noir et ses cheveux devinrent gris. Epith leva la main et la regarda dans les yeux.
Elderine ferma les siens. Les hommes et les elfes ne faisaient pas le poids face aux hordes de monstres, ni en comparaison aux elfes tombés au combat, normalement dix fois plus fort et rapide qu’eux.
Or, à ce moment précis, quelque chose d’incroyable arriva : tout à coup, les elfes massacrés commencèrent à attaquer les monstres avec une agilité et une rapidité hors du commun. Les monstres moururent sans la moindre possibilité de se défendre contre cette attaque inattendue. Le regard tremblant d’Elderine était de nouveau tourné vers Epith. Lui aussi se battait contre les monstres qu’il avait créé de ses propres mains, comme s’il souhaitait réparer ses fautes.
Le cœur d’Elderine se réchauffa. Elle commença à prononcer un sort en direction de Roumen, de toute sa puissance.
« A l‘attaque !!! Suivez-moi !!! »
Roumen appela d’une voix ferme. Une lumière sortit de la poitrine d’Elderine. Un rayon éblouissant s’étendit dans le ciel sombre. Une lumière bénie emplit les cœurs des hommes et des elfes.
Tous exultèrent de joie. Même les elfes, auparavant aveuglés par la convoitise des dieux, avaient maintenant retrouvé le souffle de la vie. Leurs âmes n’étaient donc pas perdues à tout jamais ! Le dieu de la jalousie et de la cupidité les avait seulement hypnotisés et aveuglés.
S’agenouillant devant Elderine, ces elfes demandèrent pardon pour leurs fautes. Elderine les consola et accepta de leur pardonner.
Elderine cria pour retrouver Epith. Elle l’imaginait couché quelque part, mort ou blessé. Pourtant elle ne parvenait pas à trouver son frère sur le champ de bataille sanglant. Aucun cadavre, aucune trace, rien de rien ! En vérité, Epith s’en était simplement allé – il était incapable de se pardonner ses propres fautes.
Roumen parla d’une voix douce à Elderine, car elle avait pleuré la nuit entière : « Epith ne vous a pas abandonné pour toujours. Il a sûrement cru qu’il n’y avait plus aucune possibilité pour lui de réparer ses fautes. Il est donc parti pour un long voyage de pardon. »
Grâce aux paroles de Roumen, Elderine réussit à surmonter le deuil. Elle donna aux elfes d’Epith, qui avaient regagné le monde béni, le nom de « elfes des ténèbres » et les salua comme de fidèles compagnons.
Puis, elle fit bâtir une tour en pierre afin d’honorer l’harmonie entre les hommes et les elfes ; et de cette manière prouver à son frère Epith qu’il pouvait rentrer à tout moment.
Chapitre 6: Le Serment des Hednis
Tous les chefs de clan se sont réunis et ont une fois encore décidé de bâtir une cité avec Elderine comme gouvernant. Ils ont également pris le serment de Hednis – s´engageant à l’harmonie éternelle entre chacun des trois clans.
Les liens étroits entre les humains, les elfes et même les elfes noirs, ont apportés de grands progrès et des années d´abondance au continent – les monstres n´ont pas osé mettre un seul pied sur la terre bénie.
Les dieux ne sont pas resté inactif pendant longtemps – ils ont cherché à éroder l´alliance d´Hednis en provoquant des catastrophes pour les partisans d´Elderine …
Un jour, le soleil a disparu sans laisser de trace. Des nuages ont emplit le ciel et des météorites sont tombés. Des tornades ont balayés le continent détruisant des villages entiers.
Mais l’alliance n’a faiblit pas, au lieu de ça elle s’est fortifier. Elderine a, chaque jour, prié au fragment de Bijou, priant pour que ces calamités se finissent.
Au fil du temps, de plus en plus sont morts – ses prières sont restées sans réponse. Toutefois, cela n’a pas ébranlé leur foi. Elderine a crié à Bijou:
«Peu importe combien tu nous test, nous n’abandonnerons jamais! »
Bijou n’avait jamais répondu à ses prières avant, mais maintenant le fragment a commencé à briller.
L’esprit de Bijou a émis, depuis chacun des fragments restant, un rayon de lumière dans le ciel.
De délicieuses gouttes de pluie se sont mises à tomber sur la terre sèche ; Soudainement la vie se mit à fleurir de nouveau. Tout se régénérait, retournant à sa forme et beauté originale.
C’est ainsi que ce jour fut appelé « Purification de lumière »…
Chapitre 7: Un court instant de paix
Après la purification de lumière, le continent d´Isya a retrouvé son aspect d’origine – de nombreux nouveaux jeunes elfes et les humains sont nés, le terrain était une fois de plus fertile.
Bien que tout à fait furieux, les dieux n’avaient guère d’autre choix que de se mettre à genoux devant le pouvoir illimité de Legel. Même sans corps ni âme, le pouvoir de Legel s’est avéré trop grand.
L’alliance entres les humains, les elfes et les elfes noirs c’est propagé à travers le continent, apportant une ère de calme et de paix.
Après de nombreuses années, Elderine, Roumen et tous les héros de guerre, sont décédé – laissant leur héritage à leurs enfants et leurs petits-enfants. Hélas, au fil du temps, la bénédiction de Bijou a progressivement été oubliée sur terre … mais pas dans les cieux.
Vous voyez, la plupart des dieux ont trouvé la paix, mais un groupe mené par Markis, le dieu de la mort et de la destruction et rejoint par Pagels, dieu de la cupidité, Nik, dieu des ténèbres et Apoline, le dieu du désir et le désespoir, était tenace et inlassable. Il y avait une lutte pour le pouvoir – les dieux réformée faisaient pression en faveur de la paix, mais ces dieux obscures ne pouvaient pas le supporter.
Les dieux obscurs ont utilisés toutes leurs forces pour bannir les bons dieux des cieux et les envoyer sur terre, dispersés à travers le continent.
Nature, le dieu des arbres, errait dans les vastes bois. Enid, le dieu de la guerre, a débuté un long voyage à la recherche de rédemption. Teva c’est rapproché de l’alliance d’Hednis – en promettant de les protéger grâce ses pouvoirs bénis.
Chapitre 8: La dernière guerre
Les dieux obscurs ont jurés d’éliminer l’alliance d’Hednis pour avoir opposé leur puissance. Ils promettaient d’apporter l’obscurité et le chaos total sur le monde. Les dieux descendirent sur terre et tranchèrent le continent en deux – de nombreux villages ont été détruits par le tsunami ou recouvert par la lave.
Le continent Isya commença à perdre espoir, une fois de plus. De nombreux elfes et humains prirent la fuite par peur pour leur vie.
Pour remplir leur ignoble mission, les dieux maléfiques invoquèrent les morts-vivants, une bande de guerriers des ténèbres de l’enfer. Ils affrontèrent l’Alliance – ce qui a donné lieu à une autre bataille apocalyptique.
Hélas, l’Alliance n’a pas été à la hauteur et a rapidement été vaincu.
Cependant grâce à la protection de Teva, la déesse de l’espoir, de nombreux guerriers, femmes et enfants ont pu s’échapper du champ de bataille.
Ils se sont dirigés au nord, où ils ont rencontrés Enid, le dieu de la guerre. Après avoir entrainé les guerriers de l’Alliance et leur avoir remis les 3 fragments de Bijou qu’il avait trouvé au cours de son voyage, ensemble, ils ont défié les forces des ténèbres …
Ils ont réussi. Les dieux des ténèbres ont finalement été exilés loin, très loin.
Hélas Teva avait été mortellement blessé et Enid avait disparu sans laisser de trace.
Teva tomba dans un coma, et ne pouvait plus offrir sa protection. Avant de tomber dans son profond sommeil, elle a mis en garde l’Alliance que la seule façon d’empêcher les dieux des ténèbres de revenir une fois de plus serait de trouver tous les morceaux de Bijou …
L’Alliance en a fait sa quête, envoyant des aventuriers à travers la terre pour trouver Bijou.
Serez-vous celui qui trouve la dernière pièce?